Cache-cache et mat : des « retours » par mails.

J'aime beaucoup ton écriture, qui a l'air d'avoir la rapidité et l'efficacité d'une liste de courses et qui cache (-cache) une ironie mordante, un désespoir souterrain...

J'ai bien aimé, et je te félicite en particulier pour la construction du récit et les révélations progressives. Et les dialogues sont très vivants.

 Ces souvenirs d'enfance si heureuse mêlés à un suspens qui m’a tenu en haleine jusqu'à la chute insoupçonnable...et puis l'atelier d'écriture si décapant!

La légèreté du style, la construction de l'intrigue, la variété des petites touches autour du thème principal,... vraiment je l'ai dévoré. Pas de nœud au cerveau mais une histoire bien montée, des personnages crédibles, des situations et ambiances qu'on reconnaît avec nostalgie ou amusement selon les chapitres.  

Drôle, plein de petits détails qui font vivre les personnages.

Ça se lit un peu comme un polar.

 L’histoire est originale et le suspens tient en haleine.

 Rentrée hier, j’ai lu votre roman avec plaisir en vacances et je vous en livre mes impressions à chaud. D’abord, et c’est essentiel pour moi, j’y ai trouvé le plaisir pur de la lecture ; en général, si je n’accroche pas au bout de 4 pages, j’arrête, mais là, pas du tout. Vous avez une jolie plume alerte comme j’aime.

Je n’ai jamais participé à un atelier d’écriture mais l’idée que je m’en fais, je l’ai retrouvée dans votre livre : vous n’y allez pas de main morte et c’est ce que j’aime ! Des descriptions de personnages décapantes, avec leurs travers qui les rendent pourtant souvent attachants. Les souvenirs personnels de Rozenn insérés entre les chapitres sont poignants et d’une écriture tellement intense que j’en ai souvent frissonné.

 - c'est bien écrit

- ça se lit vite, car on est pris par l'histoire

- ça vaut largement un tas d'autres romans d'auteurs pourtant célèbres !

 Je veux te dire le bien que je pense de ton roman : j’ai eu beaucoup de plaisir à le lire  (d’une traite) et surtout j’ai bien aimé là façon à la fois grave et humoristique dont tu poses les problèmes de l’écriture autobiographique. Félicitations.

 J'ai lu le livre d'une traite : ce milieu bourgeois est décrit avec une vérité criante, l'adultère du mari avec une rare subtilité.

  Intéressant d'aborder le problème des éditeurs à compte d'auteur qui donnent de faux espoirs aux écrivains en herbe. Le secret de Rozenn m'a tenue en haleine et le suspense ménagé jusqu'au bout entretient bien le mystère.